▬ Nom :: Servaes
▬ Prénom :: Thomas William
▬ Âge & date de naissance :: 9 février 1969 . Je vous laisse calculer, vous êtes assez grand pour ça.
▬ Sexe :: Homme
▬ Liens de parenté avec :: Diana Patricia (Mère), James Norman (Père), Sarah (Soeur), Emma (Soeur), Sir Edmund Vestey, 1st Baronet (arrière-arrière-grand-père maternel)
▬ Origine du sang :: Sang-pur
▬ Surnom :: /
▬ Composition de la Baguette ou/et image ::Ébène, crin de licorne

Spoiler:

▬ Patronus :: Sleipnir
▬ Métier :: /
▬ Maison (ancienne ou actuelle) :: Serpentard
▬ Groupes :: Mangemort
▬ Type de sorcier ::Métamorphomage, Animagus , Legilimens.
▬ Aptitudes magiques :: Magie de disparition, Legilimencie, Duels, magie sans baguette et imprononcé, Dark Arts, Potions.

Juillet 1995

-Que puis-je pour vous messieurs ?

Un homme venez d’ouvrir la porte de son splendide manoir à deux inconnus vêtu tout deux d’une longue cape noir et d’un masque qui recouvrer totalement leurs visages.

-James Norman Servaes, vous n’êtes pas sans savoir que notre maître, auquel vous avez déjà rendu mainte services, est revenu à la vie. Il a déclaré la guerre à tous ceux qui s’opposeraient à lui, je vous suggère donc, à vous et votre famille, de nous re…

-Non ! Je vous ai déjà dit ce que je pensais à ce sujet il me semble ?

-Certainement Monsieur et…

-Alors disparaissez d’ici ! Où je vous chasserez moi-même de mon territoire !

-Bien, mais je préfère quand même vous prévenir, c’est notre clan… ou la mort. La « Chasse » a déjà commencé.
-…

Il les regarda lentement partir sans ajouter un mot, il n’aimait pas ce que ce mangemort venez de lui dire, ils allaient certainement les tués, lui et sa famille, ce serait un acte lâche certes, mais pour les serviteurs « lèches-bottes » du seigneur des ténèbres cela ne paraissez pas étonnant du tout.  

 

Août 1995

Ce jour aurait pu être magnifique, si l'après-midi de Thomas Servaes n'avait pas était ravagé par un incendie non prévu. Il était parti quelques mois, pour "des affaires", c'est du moins ce qu'il avait dit à son père. Mais après avoir entendu parler du retour du seigneur des ténèbres, il était vite revenu par crainte qu'il n'arrive quelque chose de grave, et il ne s'était pas trompé, à peine s'être transplané l'horreur était là, planté devant lui, le grand brasier avait déjà réduit en cendres la moitié du manoir de son père... Son père ! Oui Servaes pensait à son géniteur désormais et le reste de sa famille. Était-elle toujours en vie ? Ou Était-elle entrain de brûler devant ces yeux ? Il était incapable de bouger, il était comme paralysé.

Spoiler:

Alors que Servaes contemplait le chaos, immobile, comme si une puissante force l'en empêcher, une voix remplie de noirceur parvint à lui contrôler l’esprit.

-Les laisseras-tu te détruire, comme ils ont fait pour ta famille, jeune sorcier ?

Cette voix avait la sonorité d'un serpent et le ton était moqueur. Cette voix, c'était celle de Lord Voldemort, et il était à présent à côté de lui.

-Allons, rejoint moi et tu pourras te délecter d'une puissante vengeance, sur ces sales Aurors.

Le rejoindre ? Les Aurors ? Ainsi c'était eux les coupables. La colère s’empara alors de Servaes et un sourire était à présent apparu sur le visage de Voldemort.

-J'accepte.  

 

Spoiler:

Décembre 1995

Après le drame d'août, Servaes était devenu mangemort, non parce qu'on l'avait forcé, il l'avait voulu, enfin ce n'est ce qu'il pensait. Il avait encore du mal à s'habituer à la marque, c'était une douleur indescriptible, il avait juste une envie : s'arracher la peau, mais cela n'aurait fait qu'aggraver la situation, ça plus la brûlure de l'encre du tatouage qu'on venait de lui faire, car il était à présent prisonnier d'azkaban, il s'était laissé emprisonner sans opposer la moindre résistance, à quoi bon ? Se faire amocher ? Surement pas. D'autres mangemort l'avait accompagné, mais seulement deux d'entre eux avait retenu son attention, un certain Lucius Malfoy, (lui était gravement amoché) et le fils unique de Bartemius Crouch Sr. (qui était là depuis plus longtemps que les autres, attendant de recevoir le baiser du détraqueur). Il en avait marre d'être enfermé (Qui ne le serait pas ?), il avait juré qu'il s'évaderait, même s'il faudrait utiliser des moyens dangereux, voir même très dangereux.